Introduction
Il est courant de traverser des périodes de baisse de motivation dans sa carrière professionnelle ou dans sa vie personnelle.
Bien que cela puisse être temporaire, il peut arriver que ce manque d’enthousiasme, d’énergie, de “peps”, soit le résultat d’un problème plus profond et persiste malheureusement dans le temps.
Diverses théories de la motivation ont été développées par des psychologues et chercheurs pour expliquer les facteurs qui influencent notre comportement motivé. Parmi les théories les plus connues, nous retrouvons :
- La théorie de l’autodétermination,
- La théorie de la motivation intrinsèque et extrinsèque, en lien aussi avec la théorie précédente,
- L’attente de Vroom,
- L’auto-efficacité de Bandura,
- Les besoins psychologiques de Maslow.
Ainsi, dans cet article, nous allons parler, dans un premier temps des différentes théories psychologiques de la motivation pour vous amener à mieux les utiliser pour votre plus grand bien-être tout en vous expliquant la différence entre motivation et discipline.
L’auto détermination de Ryan et Deci
Selon les travaux de Deci et Ryan (2002), chaque individu a naturellement et intrinsèquement le désir de satisfaire trois besoins psychologiques fondamentaux :
- Le besoin de compétence ;
- Le besoin d’autonomie ;
- Le besoin d’affiliation ou de relation avec autrui.
➡️Notre conseil : Si vous vous sentez démotivé, évaluez ces 3 composantes sur 10 dans la situation (professionnelle, sportive, vie de couple, etc).
- Posez vous ensuite la question : “quel est le besoin le plus important pour moi ?”
- Puis la question : “quelle est la note minimale acceptable pour moi ?”
- Puis : “quelle est la note que je veux atteindre ?”
- Et enfin “Quelles actions puis-je mettre en place pour gagner un ou plusieurs points ?”
Dans leur théorie de l’autodétermination, Deci et Ryan (2002) identifient 2 principaux types de motivation :
- La motivation intrinsèque,
- La motivation extrinsèque.
Lorsqu’une personne s’engage volontairement et spontanément dans une activité en raison de son intérêt et du plaisir qu’elle en retire, sans chercher de récompense externe, on parle de motivation intrinsèque.
Par exemple, un étudiant qui résout des problèmes mathématiques par passion manifeste une motivation intrinsèque, considérée comme le niveau le plus élevé d’autodétermination.
Lorsqu’une activité est pratiquée non pas pour le plaisir qu’elle procure, mais pour des raisons souvent externes ou instrumentales, telles que la punition, la récompense, la pression sociale ou l’approbation d’autrui, on parle de motivation extrinsèque. La motivation extrinsèque peut être divisée en quatre sous-catégories :
- La régulation externe,
- La régulation introjectée,
- La régulation identifiée,
- La régulation intégrée.
Régulation externe : Il s’agit d’une forme de motivation extrinsèque où le comportement est influencé par des incitations externes telles que des récompenses, des punitions, des conséquences sociales, etc. Le comportement est exécuté pour obtenir une récompense ou éviter une punition externe.
Régulation introjectée : Cette forme de motivation est également extrinsèque, mais le comportement est influencé par des pressions ou des attentes internes. Les actions sont réalisées pour éviter la culpabilité, maintenir l’estime de soi ou répondre à des normes internes, mais elles ne sont pas totalement intégrées ou acceptées comme étant personnellement significatives.
Régulation identifiée : Il s’agit d’une forme de motivation intrinsèque où le comportement est réalisé parce que la personne a pleinement compris et accepté son importance et ses bénéfices personnels. Les actions sont alignées sur les valeurs et les objectifs personnels, même si elles peuvent ne pas être totalement plaisantes ou agréables à court terme.
Régulation intégrée : Cette forme de motivation est intrinsèque et représente le niveau le plus élevé d’autonomie. Le comportement est pleinement intégré à l’identité et aux valeurs de la personne. Les actions sont vécues comme étant cohérentes avec qui nous sommes, nos aspirations profondes et nos convictions fondamentales.
➡️Notre conseil : Si vous vous sentez démotivé, il est plus pertinent de réfléchir à comment augmenter votre motivation intrinsèque et non la motivation extrinsèque. Privilégiez les régulations identifiée et intégrée dans la mesure du possible.
En ce qui concerne l’amotivation, Deci et Ryan (2002) la définissent comme l’absence de motivation, représentant le niveau le plus bas d’autodétermination. Les élèves faisant preuve d’amotivation s’engagent dans des activités sans vraiment comprendre la raison de leur implication ni ce qu’ils en retirent, et peuvent devenir “perturbateurs”.
➡️Notre conseil : Limitez au maximum ces situations d’amotivation car elles peuvent nuire à votre estime et votre confiance en vous.
Remarque : Deci et Ryan (1985) soutiennent que la motivation intrinsèque et la motivation extrinsèque ne s’opposent pas, mais qu’elles se situent plutôt sur un continuum. Les niveaux de motivation intrinsèque, de motivation extrinsèque (externe, introjectée, identifiée) et d’amotivation fluctuent en fonction du degré d’autodétermination et du sentiment de compétence perçue par l’individu.
L’attente de Vroom
Victor Vroom, né en 1932, est un psychologue et professeur américain renommé dans le domaine de la psychologie organisationnelle. Il est surtout connu pour ses contributions à la théorie de la motivation et à la prise de décision en milieu professionnel.
Vroom a mené des recherches approfondies sur la motivation au travail et a développé la célèbre théorie de l’attente (ou théorie de l’attente de Vroom). Cette théorie propose une explication sur la façon dont les individus évaluent leurs attentes de résultats et prennent des décisions quant à leur motivation dans un contexte professionnel.
Contrairement aux théories de Maslow ou Herzberg axées sur les besoins, la théorie de Vroom met l’accent sur la motivation d’un individu en relation avec ses attentes et les chances qu’il a de les réaliser.
Selon Vroom, la motivation est influencée par trois facteurs qui se combinent de manière multiplicative :
- L’expectation : il s’agit de la confiance de l’individu en ses capacités à atteindre un objectif. La motivation dépend de la perception de ses chances de réussite.
- L’instrumentalité : il s’agit du niveau de récompense attendu en échange de la performance. La motivation est liée à la valeur perçue de la récompense obtenue.
- La valence : il s’agit de la valeur attribuée aux avantages obtenus. La motivation dépend de l’importance accordée à la récompense par l’individu.
Pour illustrer cette théorie, prenons l’exemple d’une personne qui se voit confier la responsabilité d’un projet :
L’attente (“Expectation”) : Si la personne estime qu’elle n’est pas capable de gérer le projet en raison de sa complexité ou de difficultés au sein de l’équipe, l’expectation sera faible, ce qui entraînera une motivation faible à accepter l’offre (« je ne réussirai pas »).
➡️Notre conseil : Si vous n’êtes pas sûr(e) de pouvoir réaliser le projet, vous pouvez solliciter une personne extérieure.
Instrumentalité : Si le poste n’offre aucune possibilité d’évolution vers un statut de chef de projet officiel, l’instrumentalité sera nulle, ce qui conduira à une faible motivation à accepter l’offre (« je n’en tirerai aucun avantage »).
➡️Notre conseil : interrogez-vous sur le court, moyen et long terme lorsque vous vous engagez dans un projet. Quelles sont vos perspectives d’évolution ?
Valence : Si le poste représente une opportunité d’évoluer vers un statut de chef de projet officiel, mais que la personne souhaite plutôt progresser vers un poste d’expert technique, la valence sera faible, ce qui entraînera une faible motivation à accepter l’offre (« cela ne m’intéresse pas »).
En revanche, si la personne se sent capable de gérer le projet, perçoit l’opportunité d’une évolution de statut et recherche activement cette évolution, sa motivation sera forte.
Ainsi, selon la théorie de Vroom, la motivation d’un individu est déterminée par l’interaction entre l’expectation, l’instrumentalité et la valence, qui agissent conjointement pour influencer son engagement et son niveau de motivation.
L’auto efficacité de Bandura
Albert Bandura, un psychologue et professeur à l’université de Stanford en Californie, a développé le concept de sentiment d’efficacité personnelle.
Sa théorie sociocognitive, qui intègre des éléments du béhaviorisme et du cognitivisme, considère que le fonctionnement psychologique et le développement doivent être compris à travers l’interaction de trois facteurs :
- le comportement,
- l’environnement
- et la personne.
Ces facteurs s’influencent mutuellement, mais n’ont pas nécessairement le même impact, ce qui constitue la notion de causalité triadique réciproque.
Selon cette théorie, les individus sont des agents actifs de leur vie, capables de contrôler et de réguler leurs actions, ce qui est appelé « agentivité ».
Le système de soi, une composante de la personne, est constitué de cognitions qui reflètent l’histoire individuelle. Un élément central de ce système de soi est le sentiment d’efficacité personnelle.
Le sentiment d’efficacité personnelle se réfère aux croyances d’un individu quant à sa capacité à accomplir des performances particulières. Il joue un rôle dans les choix d’activités et d’environnements, l’investissement dans la poursuite des objectifs fixés, la persistance des efforts et les réactions émotionnelles face aux obstacles.
Plusieurs sources contribuent à la construction et à la modification du sentiment d’efficacité personnelle :
- L’expérience active de maîtrise : cette source est influente car elle repose sur la réussite personnelle dans la réalisation de tâches. Plus un individu réussit dans l’exécution d’un comportement, plus il croit en ses capacités pour accomplir cette tâche. Les succès renforcent la croyance en l’efficacité personnelle, tandis que les échecs la diminuent.
- L’expérience vicariante : il s’agit d’un apprentissage basé sur l’observation des autres, aussi appelée “modélisation” en PNL (ou programmation neuro-linguistique).. L’observation de pairs réussissant dans une situation qui était auparavant perçue comme difficile peut influencer et renforcer la croyance en sa propre capacité de réussite. À l’inverse, l’observation de l’échec d’autrui peut aussi mettre en doute l’efficacité personnelle.
- La persuasion verbale : par le biais de suggestions, d’avertissements, de conseils ou d’interrogations, les individus peuvent être amenés à croire en leur potentiel pour réussir un comportement qui les embarrassait auparavant. Cependant, ces croyances générées par la persuasion verbale sont relativement faibles lorsqu’elles ne sont pas accompagnées d’une expérience concrète. Des facteurs tels que l’expertise, la crédibilité et l’attrait de la personne source peuvent également influencer les résultats.
- Les états physiologiques et émotionnels : ces facteurs jouent un rôle dans le sentiment d’efficacité personnelle. Lorsqu’une personne associe un état émotionnel négatif, tel que l’anxiété, à une faible performance dans un comportement donné, cela peut entraîner des doutes sur ses compétences personnelles et conduire à l’échec. En revanche, les individus seront plus enclins à croire en leur succès s’ils ne sont pas perturbés par des états émotionnels négatifs.
➡️Notre conseil : Échangez avec vos pairs, trouvez des mentors qui ont déjà réalisé ce que vous souhaitez réaliser afin d’augmenter vos chances de réussite. Vous allez de ce fait améliorer votre discours interne (la petite voix qui peut vous faire réussir ou échouer), et vous aller vous nourrir d’émotions positives ou facilitantes pour avancer vers l’atteinte de vos projets.
La théorie du sentiment d’efficacité personnelle est largement utilisée dans de nombreux domaines tels que l’éducation, le travail, la santé, les phobies, le sport et même dans des actions collectives de nature sociopolitique. Elle se fonde sur la croyance partagée par les citoyens en leur capacité à provoquer des changements par le biais d’une action collective.
La pyramide des besoins d’Abraham Maslow
Selon la théorie de Maslow, les motivations d’une personne sont liées à l’insatisfaction de certains de ses besoins.
Les travaux de Maslow, publiés en 1954, permettent de classer les besoins humains en cinq niveaux, en fonction de leur importance. Ces niveaux sont ordonnés selon l’ordre dans lequel ils se manifestent chez l’individu, chaque niveau de besoins émergeant lorsque les besoins du niveau précédent sont satisfaits.
Selon cette théorie, il est nécessaire de répondre aux besoins les plus fondamentaux d’une personne, tels que les besoins physiologiques et de sécurité, avant de pouvoir influencer ses motivations « supérieures ».
Les besoins physiologiques sont essentiels à la survie de l’individu ou de l’espèce. Ils comprennent des besoins concrets tels que manger, boire, se vêtir, se reproduire et dormir. Bien que ces besoins soient généralement satisfaits pour la plupart d’entre nous, notre évaluation personnelle de ces besoins peut varier. Ainsi, une différence de perception peut conduire à une situation considérée comme insatisfaisante pour une personne, ce qui génère une motivation pour satisfaire ce besoin.
Les besoins de sécurité sont liés au désir de protection physique et morale. Ils sont complexes car ils englobent à la fois des aspects objectifs, tels que la sécurité personnelle et celle de sa famille, et des aspects subjectifs liés aux peurs, aux craintes et aux anticipations, qu’elles soient rationnelles ou non. Les besoins de sécurité incluent la sécurité d’un abri (logement, maison), des revenus et des ressources, la sécurité physique contre la violence, la délinquance et les agressions, la sécurité morale et psychologique, la stabilité familiale ou affective, ainsi que la sécurité médicale et sociale.
Les besoins d’appartenance correspondent aux besoins d’amour et de relation des individus. Ils englobent le désir d’être aimé et d’aimer en retour, d’établir des relations intimes avec un partenaire, d’avoir des amis, de faire partie d’un groupe cohésif, de se sentir accepté et de ne pas se sentir seul ou rejeté. Ces besoins impliquent une appartenance à des groupes sociaux, relationnels ou statutaires, et chaque personne peut appartenir à plusieurs groupes.
Les besoins d’estime sont liés au désir de reconnaissance, de considération, de réputation et de confiance en soi. Ils sont liés à la façon dont les autres nous perçoivent et peuvent être associés à des gratifications accordées par autrui. Les besoins d’estime incluent également le respect de soi-même et la confiance en soi.
Enfin, le besoin d’auto-accomplissement représente le désir de se réaliser, d’exploiter son potentiel personnel et de se développer dans tous les domaines de la vie. Ce besoin peut prendre différentes formes selon les individus, tels que l’apprentissage continu, le développement des compétences et des connaissances personnelles, la créativité, l’invention, la contribution à la société, ou encore l’épanouissement personnel.
Il est nécessaire de noter que la pyramide de Maslow, bien que largement enseignée et utilisée dans le domaine du management, doit être relativisée. La classification des besoins selon une hiérarchie stricte, où un besoin doit être satisfait avant de passer au suivant, n’est plus considérée comme valable de nos jours. En effet, chaque individu peut être plus sensible à un besoin particulier en fonction de sa personnalité, indépendamment de la satisfaction ou non des besoins inférieurs.
➡️Notre conseil : passez votre projet à la “moulinette” de la pyramide de Maslow, et vérifiez que chaque niveau peut être comblé par ce projet, ou prévoyez des solutions permettant à terme de combler chaque niveau et chacun de vos besoins psychologiques.
La différence entre discipline et motivation
La motivation et la discipline sont deux concepts distincts, bien qu’ils puissent parfois se confondre. Alors que nous aspirons à diverses réalisations dans la vie, nous apprenons avec le temps que nous ne pouvons pas tout avoir. Il est essentiel de définir nos priorités et objectifs, et de nous concentrer sur eux.
Cependant, se concentrer uniquement sur nos besoins et priorités ne suffit pas. Nous devons également travailler activement pour atteindre ces objectifs et buts. Cela nécessite des changements positifs dans notre vie et le développement de certaines habitudes. La motivation et la discipline jouent un rôle clé dans la réalisation de nos objectifs prioritaires.
La motivation est un état mental ou un trait qui nous pousse à entreprendre certaines actions ou activités. Elle agit comme un catalyseur, nous incitant à poursuivre un objectif spécifique. Lorsque nous sommes motivés, notre esprit se concentre et est orienté vers la réalisation de cet objectif.
D’autre part, la discipline se réfère à un ensemble de règles qui régissent notre comportement et nos habitudes. Elle peut être imposée par des normes sociales, religieuses ou culturelles, ou bien être une discipline auto-imposée.
La discipline nous aide à créer des habitudes, des emplois du temps et des routines, et peut contribuer à développer notre personnalité. Elle peut être perçue comme forcée ou autoritaire lorsque nous sommes contraints de suivre des règles, mais elle peut aussi être une autodiscipline que nous choisissons d’adopter pour atteindre nos objectifs souhaités.
L’utilisation de l’hypnose pour retrouver de la motivation
Lorsqu’il s’agit de retrouver de la motivation, l’hypnose peut agir de plusieurs manières.
Tout d’abord, elle peut aider à identifier les blocages ou les croyances limitantes qui peuvent entraver notre motivation.
Par exemple, si au fond de moi j’ai la croyance que je ne réussirai jamais à atteindre mon objectif, alors ma motivation intrinsèque va fortement diminuer, et je peux mettre en place – consciemment ou inconsciemment – des stratégies de sabotage, comme par exemple la procrastination.
En accédant à l’inconscient, il est possible d’explorer les raisons profondes de notre manque de motivation et de les transformer en pensées positives et motivantes.
Ensuite, l’hypnose peut renforcer nos ressources internes et stimuler notre confiance en nous. Elle peut aider à développer une vision claire de nos objectifs, à renforcer notre détermination et à visualiser le succès. Ces suggestions positives ancrées dans notre esprit subconscient peuvent influencer notre attitude et notre comportement, nous incitant à agir et à persévérer.
Enfin, l’hypnose peut également aider à gérer le stress et les émotions négatives qui peuvent être des freins à notre motivation. En nous aidant à relâcher les tensions et à cultiver un état de calme intérieur, elle favorise un état d’esprit propice à la motivation et à la prise de décisions éclairées.
➡️Notre conseil : consultez un hypnothérapeute certifié si vous en ressentez le besoin
Conclusion
Nous pouvons conclure cet article sur une métaphore.
La motivation peut être comparée à une flamme intérieure qui brûle en chacun de nous. Cette flamme représente notre énergie, notre volonté et notre détermination à poursuivre nos objectifs. Comme une bougie, elle peut vaciller parfois face aux vents contraires de la vie, mais elle peut toujours être ravivée.
Lorsque la flamme de la motivation est forte, elle éclaire notre chemin et nous guide vers l’accomplissement de nos rêves. Elle nous pousse à surmonter les obstacles, à persévérer et à nous dépasser. Elle est le carburant de notre engagement et de notre passion.
Cependant, il arrive que cette flamme s’affaiblit, comme une bougie qui manque d’oxygène. Les défis, les échecs et les doutes peuvent la faire diminuer. C’est à ce moment-là qu’il est essentiel de prendre soin de cette flamme et de la raviver.
Pour raviver la flamme de la motivation, il faut lui apporter de l’air frais, de nouvelles inspirations. C’est là que l’hypnose peut être intéressante. Pour ouvrir de nouveaux champs du possible, pour se défaire aussi de certaines croyances limitantes.
Pensez également à protéger cette flamme des vents négatifs et des influences néfastes qui pourraient chercher à éteindre votre flamme.
Evidemment, l’hypnose n’est pas une solution magique instantanée. Elle nécessite une pratique régulière et l’accompagnement d’un hypnothérapeute qualifié pour obtenir des résultats durables. Chaque personne est unique, et les séances d’hypnose sont adaptées en fonction des besoins et des objectifs individuels.
Si vous ressentez un manque de motivation dans votre vie, l’hypnose peut être une approche efficace pour retrouver votre feu intérieur.
Bibliographie
Article : » Les différents types de motivation selon la théorie de l’autodétermination » ( https://rire.ctreq.qc.ca/les-differents-types-de-motivation-selon-la-theorie-de-lautodetermination/#:~:text=Les%20types%20de%20motivation,L’amotivation. )
A.Bandura. Auto-efficacité. Le sentiment d’efficacité personnelle
Paris : Éditions De Boeck Université, 2003 ( https://journals.openedition.org/osp/741 )
Maïlys Rondier, “A. Bandura. Auto-efficacité. Le sentiment d’efficacité personnelle”, L’orientation scolaire et professionnelle [Online], 33/3 | 2004, Online since 28 September 2009, connection on 25 June 2023. URL: http://journals.openedition.org/osp/741; DOI: https://doi.org/10.4000/osp.741
Article : » Différence entre motivation et discipline » publié le Octobre 25, 2022 ( https://gobookmart.com/fr/difference-between-motivation-and-discipline/?amp= )
Article : » Motivation – La théorie VIE de Vroom » ( http://alain.battandier.free.fr/spip.php?article9 )
- L’hypnose : Une Bonne Idée Pour Retrouver De La Motivation ? - juillet 2, 2023