Vous Souhaiteriez Consulter Un Psychologue Mais La Barrière Du Premier Echange Vous Fait Peur ?

Vous Souhaiteriez Consulter Un Psychologue Mais La Barrière Du Premier Echange Vous Fait Peur ?

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Article invité écrit par Baptiste Michiels, fondateur du site Websie.co

Les consultations psychologiques sont en hausse depuis 10 ans

On estime qu’environ 4 millions de Français sont actuellement suivis par un psychologue ou un psychiatre. Un tiers de la population a déjà consulté et les deux tiers témoignent des bénéfices de ces consultations.

Des études menées par les chercheurs de l’hôpital de la Conception à Marseille montrent qu’entre 2000 et 2018, le taux de dépression est passé de 8 % à 10 % de la population, entrainant une hausse significative des consultations psychologiques. On ne peut pas incriminer un seul facteur pour expliquer cette augmentation, mais on constate une difficulté grandissante à gérer le quotidien dans une société qui exige des individus qu’ils soient toujours plus performants, sans garantir de réelles stabilités professionnelles puisqu’au contraire, le monde du travail n’a jamais été aussi précaire. Pour la première fois, l’avenir n’est plus assuré à personne, et ce, quel que soit le niveau d’étude ou la classe sociale.

On peut aussi attribuer cette hausse des consultations par une libération de la parole sur ce genre de troubles. Est-ce que les jeunes générations ont plus de problèmes de santé mentale ou est-ce que contrairement à leurs ainées elles osent en parler et chercher l’aide qui leur permettra de se sentir mieux à terme ? Jusqu’à peu, ces troubles étaient tabous, on peut donc penser que le nombre de dépressions ou de maladies mentales était largement sous-estimé.

La génération Y est non seulement plus ouverte sur les problèmes de soucis mentaux, mais est aussi plus exigeante avec la notion d’accomplissement. La pression pour réussir son existence est forte, alors que la notion de réussite est aussi nébuleuse qu’inatteignable. Il est pourtant alimenté par une dictature de l’image où les médias et les réseaux sociaux mettent en scène des gens à l’existence soi-disant parfaite qui provoquent trop souvent chez leurs abonnés un sentiment d’échec. Difficile de se sentir bien quand on ne se sent pas à la hauteur, et c’est la double peine puisqu’on est justement tenu de s’épanouir en toutes circonstances.

Pourtant, si les jeunes générations plébiscitent plus volontiers une aide psychologique, ouvrant la voie à leurs ainés qui n’hésitent plus non plus à consulter, le stigma de la maladie mentale et de la faiblesse de celui qui consulte est encore bien présent. Surtout chez les hommes pour qui consulter représente encore un aveu de faiblesse.

Le plus difficile restant encore et toujours de faire la démarche et de dépasser l’appréhension du premier échange.

L’appréhension du premier échange, où la difficulté de demander de l’aide

Malgré cette bienveillance relative à l’égard des troubles mentaux, ce terme fait encore très peur. Il définit pourtant la palette entière de troubles psychologiques qui peuvent subvenir dans la vie d’une personne : que ce trouble soit modéré ou très ponctuel, ou bien qu’il empêche au contraire un individu de fonctionner normalement. Tous les troubles mentaux, à partir du moment où ils dérangent l’individu ou son entourage méritent d’être adressés. Même si l’on considère que « ce n’est pas grave et qu’il y a pire ». Cette idée reste mal intégrée et demander de l’aide effraie car pour beaucoup, cette solution ne s’adresse qu’aux « cas extrêmes », alors que ceux-ci représentent une minorité des consultations actuelles.

La maladie mentale, même légère, est souvent niée, du moins au début. La société impose que l’on soit fort en toutes circonstances et être faible risque de vous en mettre à l’écart. Cette pression est d’autant plus grande pour les hommes. Si les mentalités évoluent, on attend encore d’eux qu’ils « assurent » et admettre qu’ils ont un problème mental revient à avouer qu’ils ont échoué, ou du moins qu’ils ne parviennent pas à s’en sortir sans aide. Cette idée est souvent insupportable.

Si certains se sentent prêt à franchir le pas et demander de l’aide, la peur d’être jugé par leur thérapeute est souvent présente. Et si leur praticien les critiquait ou leur reprochait leurs problèmes ? Sans compter qu’on n’apprend pas aux hommes à parler librement de leurs émotions et se mettre à nu peut s’avérer une véritable épreuve.

Dans une situation de mal-être, on perd souvent confiance en soi. Cette dépréciation peut nous amener à considérer que l’on ne mérite pas d’être écouté, que l’on ne fera qu’ennuyer son praticien… Et que dire de l’affront encouru si on croise quelqu’un de son entourage ?

Les bénéfices de la psychologie en ligne

Vous pouvez désormais consulter un thérapeute diplômé en ligne. Les thérapies et leurs bénéfices ne diffèrent en rien des traitements dits traditionnels et seul le moyen change. Les patients bénéficient juste du confort d’un endroit qui leur est familier, à des horaires flexibles et pratiques. En bref, il n’y a pas besoin de sortir de sa zone de confort pour accéder à ce type de soins.

Les personnes timides ou mal à l’aise en face-à-face peuvent quant à elles choisir les options « par écrit » (e-mail ou sms). Ce type d’échange permet aussi de mettre une distance et de poser un anonymat rassurant lorsque l’on a honte de sa situation où que l’on souhaite aborder des sujets très intimes.

Il est d’ailleurs démontré que les patients tendent à se confier beaucoup plus lors d’échanges à distance même si la visioconférence offre la même « proximité » qu’une séance en cabinet. Cela coute cependant moins cher puisque l’on n’a pas les frais de déplacements et que la flexibilité horaire ne contraint pas à prendre des heures sur son temps de travail.

Cette méthode est très appréciée aux Etats-Unis ou elle a fait ses preuves.

Vous adresser à Websie pour consulter un thérapeute diplômé

Chaque personne a le droit d’être écouté et aidé par un praticien professionnel et certifié. Les déserts médicaux, l’expatriation ou même les problèmes psychiques eux même ne devraient pas vous empêcher de trouver l’aide dont vous avez besoin. Que vous soyez un travailleur occupé ou un parent à temps plein, vous pouvez consulter n’importe où et n’importe quand grâce aux consultations en ligne.

C’est pourquoi Websie offre aux patients la possibilité de se connecter avec des psychologues agréés depuis leur zone de confort !

Que ce soit par sms, appel téléphonique ou webcam vous pourrez discuter avec votre psychologue en toute confiance et tout cela via l’application WhatsApp, très facile d’utilisation et surtout confidentiel (toutes les données sont chiffrées ainsi il est impossible pour quiconque de trouver vos conversations).

La pensée est plus fluide à l’oral mais certains préfèrent le confort de la réflexion. Le fait de chatter offre une autre forme d’anonymat qui permet aux personnes de se livrer plus facilement et de faire connaissance avec leur psychologue.

Ces derniers passent un entretien téléphonique à la suite duquel ils envoient, CV, diplômes et numéro ADELI.

Ensuite nous pouvons sélectionner avec chaque personne gratuitement un psychologue adapté à leur besoin afin de les accompagner sur le chemin du mieux être.

Rappelez vous, il existe un psychologue pour chaque personne.

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Baptiste Michiels